Je reste peut-être,
Je pars sûrement,
Je rentre dans ma folie, apparemment,
Je laisse derrière, amis et amants,
Je ne sais pas comment,
Ouh, Ouh, Ouh, Ouh, Ouh
Ouh, Ouh, Ouh, Ouh, Ouh.
Alors toi dis-moi comment tu vas ?
Où es-tu sur cette planète,
Te souviens-tu de moi ?
Je suis partie un peu trop vite,
Un peu trop bête,
Aussi nomade que jeune peut-être.
Je pense à toi,
Je pense à toi.
Et toi dis-moi comment tu vas ?
Dis-moi comment tu vas.
Evidemment que je regrette,
Je ne prends pas de plaisir,
Je vais là où le vent me mène,
Un besoin, un désir.
Je navigue sans cesse,
De cœur en corps,
De ville en ville,
Et les visages me restent,
Comme un dessin fragile.
Ouh, Ouh, Ouh, Ouh, Ouh
Ouh, Ouh, Ouh, Ouh, Ouh.
Alors toi dis-moi comment tu vas ?
Où es-tu sur cette planète,
Te souviens-tu de moi ?
Je suis partie un peu trop vite,
Un peu trop bête,
Aussi nomade que jeune peut-être.
Je pense à toi,
Je pense à toi.
Et toi dis-moi comment tu vas.
Dis-moi comment tu vas.
Et les dessins s'accumulent,
Et les blessures s'accumulent,
Et moi j'écris, Je rature,
Et moi j'écris, Je reviens.
Alors toi dis-moi comment tu vas ?
Où es-tu sur cette planète,
Te souviens-tu de moi ?
Je suis partie un peu trop vite,
Un peu trop bête,
Aussi nomade que jeune peut-être.
Je pense à toi.
Alors toi dis-moi comment tu vas ?
Mais où es-tu sur cette planète,
Te souviens-tu de moi ?
Je suis partie un peu trop vite,
Un peu trop bête,
Aussi nomade que jeune peut-être.
Je pense à toi,
Je pense à toi.